Art Car VdH

Art Car VdH

Art Car by VdH – When Art meets Car.

Bertrand Vander Haeghen & Frédéric de Haan, Managing Directors de Vander Haeghen & Co (VdH), avaient à cœur de mettre sur pied un projet caritatif réunissant deux des passions phares de la gamme de solutions VdH : les véhicules de prestige et l’Art. De cette envie naquit l’ « Art Car VdH ».

ART

D’un côté, un artiste de talent. VdH s’est associé à l’artiste liégeois, Moshi Moshi, dont les créations aux couleurs pures et pop se situent au confluent de l’art et du design.

Instagram : @m0shi_m0shi_artstudi0

CAR

De l’autre, un support de création artistique aussi mythique qu’exclusif, la Ferrari FF. Alimentée par un V12 de 660ch pour 680 Nm de couple, la « Four Four », est célèbre pour être la première Ferrari propulsée par 4 roues motrices et à proposer 4 vraies places dans l’habitacle.

Un projet caritatif

Enfin, une dimension sociale. Ce projet inédit voit le jour avec l’objectif de soutenir l’association l’Accueil Familial. Un service d’accompagnement dont l’objectif est de trouver un foyer à des enfants qui, pour diverses raisons, n’ont pas l’opportunité de pouvoir vivre avec leurs parents pendant un temps. Un projet caritatif auquel, vous aussi, vous pouvez contribuer, gratuitement !

logo accueil familial

Contribuez gratuitement avec VdH !

Vous apercevez l’Art Car VdH sur un événement, lors d’une exposition, ou même en pleine rue ? Photographiez-la et publier la photo/vidéo sur Instagram en Story, Post ou Réel en mentionnant @vdh1997 ou l’hashtag #ARTCARVDH. Pour toute communication de ce type*, VdH s’engage à verser 50,00 € à l’association l’Accueil Familial.

(*maximum une donation par jour).

Où admirer l’Art Car VdH ? 

Concours – Autoworld – 75 anni di Ferrari

Concours – Autoworld – 75 anni di Ferrari

Remportez vos 2 entrées pour l’exposition « 75 anni di Ferrari », à Autoworld !

A l’occasion des 75 ans de la prestigieuse marque italienne Ferrari, VdH a le plaisir de vous offrir 40 X 2 entrées pour  l’exposition « 75 anni di Ferrari » qui se tiendra à Autoworld jusqu’au 04 décembre prochain.

 

« Une vingtaine de Ferrari exceptionnelles sont mises à l’honneur dans le cadre de cette exposition. La crème de la crème des voitures de la marque ! Chacune d’elles possède un pédigrée particulier. Certaines présentent une particularité historique, d’autres furent produites en très peu d’exemplaires, furent pilotées par un pilote de renom, ou encore ont appartenu à une personnalité… Vous pourrez ainsi y admirer, entre autres, la Dino 206 (ex Clapton), l’unique Daytona Michelotti, la 195 Inter Ghia, la 500 Superfast (de Peter Sellers), la 250 GT Spider LWB, la 308GTS et bien d’autres encore…« 

Pour participer, et peut-être remporter vos 2 entrées, inscrivez-vous via le formulaire en cliquant sur le bouton ci-dessous et répondez aux 2 questions ainsi qu’à la question subsidiaire.

Bonne chance !

Picture credit : Autoworld

VdH, partenaire de l’Affordable Art Fair, vous offre vos entrées.

VdH, partenaire de l’Affordable Art Fair, vous offre vos entrées.

Du 22 au 26 septembre 2021, Tour et Taxis se transformera en galerie d’art géante à l’occasion de la 12e édition de l’Affordable Art Fair Brussels (AAF). VdH, assureur de passion et partenaire de l’événement, vous y emmène.

Sensibiliser le public à l’art contemporain, la mission de l’Affordable Art Fair.

Avec 70 galeristes et artistes locaux, nationaux et internationaux, exposants plus de 1.000 œuvres contemporaines et disponibles à la vente, l’AAF se veut tout d’abord une gigantesque exposition où chacun pourra trouver chaussure à son pied. Mais ce n’est pas tout. L’AAF ayant pour mission de sensibiliser et faire découvrir l’art contemporain, une multitude d’activités connexes y seront aussi proposées afin de satisfaire aussi bien les plus avertis que les novices en la matière.

Citons par exemple :

  • Le duo créatif bruxellois Rond Carré Studio, qui transformera un matériau généralement associé à l’emballage sécurisé des œuvres d’art pour produire une installation unique à l’entrée de la foire.

     

  • L’artiste Veerle Symoens, anciennement active dans les relations publiques et le journalisme et dont les œuvres sont aujourd’hui exposées et vendues dans le monde entier, proposera un atelier créatif permettant à tout un chacun de repartir avec sa propre œuvre d’art intuitive ! Une belle entrée en matière dans l’art contemporain.

     

  • L’exposition Holiday Souvenirs, sera destinée à la mise en lumière des artistes émergents Adrien Belgrand, Safia Hijos, Julie Susset, Olivia Descampe et La Gadoue.

     

  • Et bien d’autres encore.

Vous êtes client Vander Haeghen et souhaitez découvrir l’AAF ?

 

VdH offre 150 accès pour 1 ou 2 personnes à ses clients passionnés. Pour recevoir vos accès, inscrivez-vous via le formulaire, accessible via le lien ci-après, avant le lundi 20 septembre 23h59, en y indiquant votre numéro de police. Les 150 premiers inscrits seront recontactés par email le mardi 21 septembre pour recevoir leurs accès.

 

Des œuvres bien assurées

En ces temps de taux d’intérêt bas, l’art est devenu pour beaucoup une valeur refuge. Mais que l’art soit passion, investissement ou les deux à la fois, il importe de se prémunir contre les dommages qui pourraient porter atteinte à ce patrimoine. L’assureur VdH propose des formules sur mesure à ses clients amateurs d’art. Les œuvres sont bien souvent assurées en valeur agréée. Cela signifie que les parties conviennent de la valeur de l’objet lors de la souscription. Si l’objet vient à disparaître, c’est cette valeur qui sera remboursée, sans aucune discussion.

De la bande dessinée aux antiquités en passant par les peintures et autres sculptures, la couverture Fine Art Insurance de VdH protège tous vos objets d’art, que vous soyez un collectionneur privé, professionnel ou même une institution culturelle.

Vander Haeghen, l’art d’assurer les passions

    Décryptage : le marché de l’art face au coronavirus

    Décryptage : le marché de l’art face au coronavirus

    Le marché de l’art est secoué, mais n’a pas totalement perdu ses couleurs face à la pandémie. Frédéric de Haan, Managing Director de VdH, fait l’analyse de ce secteur toujours prisé par les investisseurs.  

     

    Comment se porte le marché de l’art depuis l’arrivée du coronavirus ?

    Le marché est un peu chahuté entre deux tendances. D’une part, il y a le sort des galeries. Par la force des choses, elles ont perdu le côté social qui fait leur force. En effet, les vernissages sont annulés ou reportés. Or, ceux-ci sont, pour les galeries, des moments importants et humains où les rencontres encouragent les découvertes et les achats « coup de cœur ». Ce côté social des galeries est important pour générer du chiffre.

    La Brafa est également, chaque année, le rendez-vous incontesté des amateurs et collectionneurs d’art, dans notre pays. L’annulation de cet événement en janvier 2021 est évidemment un coup dur pour le milieu de l’art et pour les nombreuses galeries et collectionneurs qui s’y donnent rendez-vous. Certaines initiatives se développent néanmoins, telle la « Brafa@home in the Galleries », qui se tiendra du 27 au 31 janvier 2021.

    Mais il y a d’autre part une tendance positive : durant la crise que nous connaissons actuellement, les artistes connus et cotés restent pour de nombreux collectionneurs une valeur refuge. Et ils continuent d’honorer les commandes spontanées qui leur parviennent de collectionneurs et/ou d’investisseurs souhaitant diversifier leur patrimoine.

     

    L’incertitude économique due à la crise peut donc être favorable au marché de l’art ?

    Oui. Dans une optique de diversification du patrimoine, l’art est, depuis plusieurs années, vu comme un placement intéressant. Aujourd’hui, en pleine crise Covid, les gens passent de plus en plus de temps chez eux, le « home-working » est devenu la norme. L’art offre un plaisir de contemplation, une forme d’évasion appréciée par les collectionneurs confirmés ou nouveaux.

    Certes, la Bourse n’a pas mal presté ces derniers mois en reprenant, bien souvent, la correction du second trimestre 2020. Mais la seconde vague qui nous concerne actuellement fera peut-être sortir le monde de l’art d’un semi-hibernage. Par contre, pour les découvertes de nouveaux artistes et de nouvelles œuvres, il faudra vraisemblablement attendre un retour à la normale.

     

    Sur le marché, à qui profite la fermeture des galeries et la limitation du nombre d’événements liés à l’art ?

    Les salles de vente semblent aujourd’hui récupérer tout le marché. Quand les galeries ferment ou attendent les jours meilleurs, les ventes « online » se multiplient et proposent des catalogues assez riches à des acheteurs qui ont rapidement appris à se familiariser avec ce nouveau type de vente. On a aujourd’hui tendance à plus rapidement faire confiance aux salles de ventes qui multiplient et développent la qualité des photos des œuvres qu’elles proposent. De nombreuses enchères s’opèrent ainsi sans que l’acheteur ait même pu avoir l’occasion d’apprécier l’œuvre de visu. Le jeu des enchères semble aujourd’hui permettre à certains amateurs de sortir de la morosité actuelle. Quand les gens s’ennuient, les enchères leur donnent une occasion de s’amuser.

     

    Quel serait votre conseil pour investir dans l’art en ce moment ?

    L’art doit avant tout rester une affaire de coup de cœur. S’il faut y ajouter un aspect investissement, il est conseillé de se tourner vers les valeurs montantes ou vers les valeurs sûres qui garantiront généralement une sécurité, voire une plus-value en cas de revente. Un artiste ayant déjà une cote ou soutenu par une galerie ayant pignon sur rue sera ainsi privilégié par le collectionneur qui se lance.

     

    En quoi une bonne couverture des œuvres d’art est-elle indispensable ? 

    Si l’œuvre doit vivre, elle doit également rester intacte, à savoir ne pas souffrir de défauts ou d’incidents venant compromettre tout ou partie de sa valeur. Assurer ses œuvres d’art, c’est avant tout préserver son patrimoine. Il est opportun de souscrire une couverture sur mesure pour ses œuvres d’art, et ce dès qu’une collection dépasse 100.000 euros.

     

    Quelles formules d’assurances s’offrent au collectionneur ?

    Différentes formules sont proposées, dont la plus classique et la plus rassurante pour le collectionneur est l’assurance en valeur agréée, sur base d’un listing envoyé à l’assureur et approuvé par ce dernier. De ce fait, en cas de dommages à l’œuvre, il n’y aura pas de discussion sur les capitaux garantis.

     

    VdH, assureur spécialisé, ne se limite pas à la couverture des œuvres, mais joue aussi un rôle de conseiller pour les collectionneurs.

    En effet. Nous pouvons les orienter vers de vrais spécialistes de la restauration, de la réparation, des professionnels qui pourront établir un « condition report » (constat d’état) au cas où l’œuvre serait prêtée pour une exposition dans un musée, par exemple.

    VdH, c’est l’art d’assurer les passions : notre équipe de spécialistes se réjouit donc d’aider les collectionneurs et les amateurs, et de les accompagner afin de garantir à leur collection existante et/ou en devenir une solution sur mesure et à la hauteur de leurs besoins.

     

    Découvrir la « Fine Art Insurance »

    VdH est « So British » cet hiver…

    VdH est « So British » cet hiver…

    L’assureur VdH, partenaire du musée Autoworld, soutient l’exposition « So British ». Un événement temporaire qui met le musée bruxellois de l’automobile à l’heure londonienne.

     

    La maison VdH, spécialisée notamment dans l’assurance pour automobiles de prestige, est un partenaire fidèle du musée bruxellois. « Autoworld est un acteur de référence du monde automobile, reconnu internationalement et affichant une activité soutenue, à travers diverses expositions temporaires. Nous partageons la même passion pour l’automobile et le même esprit », soulignent Frédéric de Haan et Bertrand Vander Haeghen, les deux Managing Directors de VdH, qui soutient les grandes expositions temporaires organisées par le musée. La dernière se nomme « So British! – cars & lifestyle » et est consacrée à l’automobile anglaise dans toute sa splendeur et sa variété.

     

    Quartiers chics   

    Pour l’occasion, des quartiers londoniens ont été reconstitués sous les poutres métalliques du musée bruxellois. La scénographie nous plonge à Piccadilly Circus, mais aussi sur les avenues commerçantes chics de la capitale anglaise, ainsi que dans les petites rues dont les « box » abritent souvent des trésors mécaniques. L’expo accueille plus de 55 modèles mythiques d’après-guerre, issus de marques nobles ou populaires : d’Aston Martin à Austin, en passant par Bentley, Jaguar, MG, Rolls-Royce, Morgan, Triumph, TVR ou encore Bristol. Sans oublier quelques marques plus insolites, moins connues ou disparues, comme Gordon Keeble, Hillman, Jowett et autres.

     

    Un univers chaleureux

    Comme toujours, le musée Autoworld plonge le visiteur dans un univers à part. « Une ambiance chaleureuse et inspirante », sourit Frédéric de Haan. « Tout le monde y trouve son compte : du simple curieux à l’amateur éclairé, en passant par le collectionneur passionné ». Les véhicules exposés sont souvent exceptionnels, soit par leur valeur ou leur histoire. Chez VdH, on avoue un petit faible pour la récente et rutilante McLaren Senna ou, dans un autre genre, pour la toute première Land Rover et son âme aventureuse. C’est ça l’expo « So British » : un grand écart éclectique entre passé et modernité, sur fond de passion automobile. Une bouffée de chaleur et de rêve en plein hiver.